Doctorant à l'Université Lyon 3 (équipe ASTRRE)

Mail : samuel.pinjon@inrae.fr

Travaux de recherche

Géographie des transitions, Géographie environnementale ; Political Ecology ; Gestion et gouvernance des eaux continentales ; Gouvernance Territoriale.

Mon travail de recherche se concentre sur les transformations territoriales de la gouvernance et de la gestion des eaux. Plus particulièrement, je m’intéresse à la manière dont des propositions alternatives émergent et résistent à la modernisation et à la rationalisation de la gestion des eaux qui tend à restreindre l’eau aux tuyaux et aux cours d’eau. Ces mouvements développent des contre-propositions théoriques et pratiques mettant en avant des enjeux sociaux, démocratiques ou écologiques : gestion communautaire, relations au vivant, place et rôle de l’eau dans les paysages, éducation populaire. L’enjeu est donc d’identifier les différentes stratégies et actions misent en place par ces initiatives contribuant à la transition socio-écologique.
Les terrains d’études privilégiés sont situés en zone rurale et/ou de moyennes montagnes méditerranéennes dans la Drôme concentrant de nombreuses expérimentations et particulièrement impactées par les effets du changement climatique. Je mobilise principalement des approches descriptives qualitatives et quantitatives (analyse documentaire, analyse de discours, observation participante, enquêtes semi-directives, questionnaires, SIG, lecture paysagère).

Collaborations et communication

Principales collaborations :

Anne Honegger (UMR 5600 EVS) et Sabine Girard (direction),
Adrien Mollaret (post-doctorat), Zoé Reverdy (stagiaire)
GGEMM – 2024-2026 : recomposition de la gouvernance de l’eau face aux défis du changement climatique - Convention cadre Agence de l’Eau ; Zone Atelier du Bas Rhône, en partenariat avec le Syndicat Mixte de la Rivière Drôme et les 3 intercommunalités de la vallée

Encadrements et enseignements :

Précédemment : RUIZ-CARILLO, G. 2024. Caractérisation des spécificités des communes de moyenne montagne face à l’obligation de transfert des compétences sur l’eau potable. Le cas du Diois (26) (avec S. Girard.)